Lu dans le Républicain Lorrain: "Dans la salle du centre culturel Daniel-Balavoine de Gandrange, 160
journalistes – un record ! – laissent peu de place aux militants et aux
cadres du PS venus applaudir [François Hollande]."
Plus de journalistes que de militants? Est-ce à cause d'un soutien médiatique disproportionné? Est-ce par défiance des électeurs vis à vis du candidat?
Lu sur le site de la mairie de Gandrange: "François HOLLANDE sera à GANDRANGE mardi 17
janvier vers 17h. [...] Il rencontrera les différents syndicats de Gandrange et Florange dans
la salle du Conseil de la Mairie (pas de public ni de journalistes). Il tiendra une conférence de Presse à l'Espace Culturel Daniel
BALAVOINE (uniquement face à des journalistes).
Venez nombreux
l'accueillir lors de son arrivée et l'attendre lors de sa sortie de la
Mairie ou encore de l'Espace Culturel. Il partira ensuite vers
METZ.
Apparemment, FH n'aime pas les bains de foule, ni les poignées de main! A moins qu'il ne craigne de se retrouver... bien seul? Quel intérêt de tenir une conférence de presse en province, avec pour seul public une majorité de journalistes parisiens...?
Plus tard, a Metz, FH déclare: « Un sommet de crise, c’est une bonne idée puisqu’il y a crise au
sommet", a-t-il ironisé, hier soir à Metz devant plusieurs centaines de
sympathisants réunis à l’hôtel de ville. (Source: Républicain Lorrain)
A moins de 100 jours de l'élection, réunir "plusieurs centaines de sympathisants" lors d'un meeting de campagne dans une région ouvrière pourrait inquiéter notre candidat du centre-droit. En réalité, tout va bien, car les électeurs qui le propulseront en tête du premier tour ne sont ni des militants, ni même des sympathisants, mais les convaincus derrière le petit écran du "plus jamais Sarkozy", qui sont nettement plus nombreux!
FH déclare le 17 janvier 2012 lors de sa visite sur le site de feu l'usine Arcelor-Mittal: "la réflexion sur la compétitivité [doit être] au cœur de notre politique
industrielle."
Réponse trouvée dans "Les Echos" du 4 janvier: "Il y a deux fois plus de robots industriels en Italie qu'en France,
trois fois plus en Allemagne ; c'est cela le vrai défi de la
compétitivité industrielle."
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